Une bibliothèque d’un nouveau genre :

Pas de livre, laissez place à des robes, tuniques, blouses et vestes originales…

Un endroit pour changer de style avec la location d’habits de qualité.

Une toute nouvelle initiative qui permet au passage de limiter l’impact environnemental de l’industrie de la mode.

La mode étant responsable d’un tiers des rejets de microplastiques toxiques dans les océans, elle consomme avec le textile jusqu’à 215 000 milliards de litres d’eau par an et est responsable de jusqu’à 8 % des émissions de gaz à effet de serre.

“Beaucoup de vêtements sont achetés et ne sont pas portés. Je pense que c’est une très belle façon de pouvoir porter de nouveaux vêtements sans épuiser la planète”.

Vous pouvez aussi acheter ou louer chaque vêtement, une étiquette indique le prix, mais également le coût de la location par jour, allant de 50 centimes à quelques euros.

Garde-robe partagée:

La bibliothèque possède, en plus, sa propre collection en ligne et dispose de points de collecte dans plusieurs villes néerlandaises.

La qualité des vêtements est le plus important dans leur choix, ainsi que les marques durables.

Avenir:

Ils ont été les premiers avec ce concept, puis d’autres initiatives se sont jointes, mais certaines d’entre elles ont également disparu.

Aujourd’hui, la plupart sont en ligne.

Mme Jansen, la fondatrice, espère que LENA inspirera d’autres marques. “Je crois sincèrement que c’est l’avenir (…) nous ne pouvons pas continuer à consommer et à produire de cette façon”.

“J’espère que d’autres marques de vêtements le feront elles-mêmes (…) pour que vous ayez toujours l’option d’emprunter”.

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